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FIFF: Une table ronde sur l’industrie du cinéma à Fribourg

Interview de Stéphane Morey, modérateur de la table ronde et secrétaire général de Cinéforom, la fondation romande pour le cinéma.

Tournage à Fribourg du film Un Juif pour l’exemple, réalisé par Jacob Berger, adapté du roman de Jacques Chessex. Ici dans l’enceinte de l’ancienne usine Chocolat Villars en 2014. © Vincent Murith-archives/Photo prétexte
Tournage à Fribourg du film Un Juif pour l’exemple, réalisé par Jacob Berger, adapté du roman de Jacques Chessex. Ici dans l’enceinte de l’ancienne usine Chocolat Villars en 2014. © Vincent Murith-archives/Photo prétexte

Tamara Bongard

Publié le 17.03.2024

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Le cinéma, c’est de l’art, des émotions partagées, des histoires, du talent, mais c’est aussi une industrie. Et peut-être même une industrie fribourgeoise. Mardi, dans le cadre du Festival international du film de Fribourg, une table ronde aborde ce sujet. Interview de son modérateur, Stéphane Morey, secrétaire général de Cinéforom, la fondation romande pour le cinéma.

Le cinéma est-il une industrie fribourgeoise?

En tant que secrétaire général de Cinéforom, je ne peux que répondre: «Pas seulement.» C’est une industrie romande, au minimum, et c’est même une industrie européenne dans laquelle les régions ont toute leur importance. A ce titre, Fribourg a sa place. De plus, comme partout ailleurs, les gens y collaborent avec des personnes hors des frontières cantonales et suis

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