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Chronique: Cervin, ô mon cher Cervin!

L'inspirateur de la forme du Toblerone a inspiré cette chronique à Marc Aebischer

Le Cervin, un paysage de carte postale que les visiteurs de Zermatt n’oublient jamais. Leur portefeuille non plus. © Evan Qu/Unsplash
Le Cervin, un paysage de carte postale que les visiteurs de Zermatt n’oublient jamais. Leur portefeuille non plus. © Evan Qu/Unsplash

Marc Aebischer

Publié le 08.09.2023

Temps de lecture estimé : 2 minutes

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Le mot de la fin » Qu’attend donc l’Unesco pour intervenir et faire ajouter une huitième merveille à ce monde moderne? Que ses dirigeants montent une fois là-haut pour prendre conscience de cette lacune. Ignares!

Toutefois, le Cervin ne se dévoile pas facilement. Aucune arête à se mettre sur la rétine avant que la crémaillère ne vous ait hissés à son pied depuis Täsch et ce n’est qu’au cœur du village de Zermatt qu’il s’offre à vous en pleine face: majestueux cône de roche aux courbes élégantes et ce léger décrochement sommital vers la gauche qui lui confère ce charme unique. Les sommets alentour semblent s’être agenouillés pour lui faire allégeance et céder le trône à «Princesse Toblerone». Quelle riche idée l’Europe et l’Afrique ont eue jadis d’oser un rapprochement tectonique! Ensuite, un créateur-sculpteur a forcément dû peaufiner l’œuvre. Un génie dont le cerveau devait héberge

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