La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Sentier de la guerre à Châtel-St-Denis

Un agriculteur refuse que sa route privée soit ouverte aux randonneurs. La justice exige un permis.

Un permis aurait conduit les autorités à examiner les différents effets de la route, en l’espèce goudronnée. ©Alain Wicht/photo prétexte
Un permis aurait conduit les autorités à examiner les différents effets de la route, en l’espèce goudronnée. ©Alain Wicht/photo prétexte

Stéphane Sanchez

Publié le 25.03.2023

Temps de lecture estimé : 8 minutes


Tribunal cantonal» Baliser des sentiers pédestres sur des routes privées n’est pas anodin: il faut l’accord du propriétaire, qui doit pouvoir contester le tracé. C’est du moins ce qu’a arrêté le Tribunal cantonal le 6 février dernier. Il donne raison à un Châtelois déterminé. En 2019, cet agriculteur n’avait pas hésité à barrer d’une chaîne sa route privée, située sur un itinéraire officiel pour les randonnées en raquettes à neige et considérée comme un chemin pédestre estival balisé.

Avec l’appui de Me Alain Ribordy, l’agriculteur et sa mère (propriétaire des parcelles et de la route d’alpage) ont enchaîné les procédures administratives depuis septembre 2019, du Tribunal cantonal au Tribunal féd&ea

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11