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Londres introduit massivement des zones où le trafic n’est pas le bienvenu

Zones à bas trafic ou à ultrabasses émissions: rouler en voiture dans la capitale britannique devient de plus en plus compliqué. Le dioxyde de carbone a ainsi pu être abaissé mais les maîtres d’état, entre autres, qui doivent traverser ces zones paient cher la taxe de passage.

Chasser la voiture des rues, telle est la volonté des autorités londoniennes. © Mairie de Londres
Chasser la voiture des rues, telle est la volonté des autorités londoniennes. © Mairie de Londres

Julie Zaugg, Londres

Publié le 23.09.2023

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Zéro carbone » Le trottoir, récemment élargi, est suffisamment vaste pour accueillir l’armée de piétons, de trottinettes et de poussettes qui envahit le quartier chaque week-end. A intervalles réguliers, il est agrémenté de «parklets», des miniparcs composés de plantes en pot et de bancs. Sur la route, deux arcs-en-ciel peints marquent un périmètre où seuls les bus, les véhicules de livraison ou les voitures des résidents sont autorisés. Une «super-autoroute pour cyclistes», traversant le quartier en direction de la City, complète le dispositif. Bienvenue dans la zone à trafic bas (Low Traffic Neighbourhood ou LTN) de Stoke Newington, un quartier aux airs de village urbain au nord-est de Londres.

Certains quartiers où ont été instaurées les zones à trafic bas et à ultrabasses &eac

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