La résidente apprécie les fables. On peut l’y entendre réciter «Le corbeau et le renard». Avec son œil vif, elle est encore capable de lire le journal à l’envers. Celle qui continue d’inspirer ses proches est née à la Joux, avant-dernière d’une famille de 5 enfants. Ses parents tiennent alors une scierie et élèvent quelques vaches. Après sa scolarité, Marthe Pittet est allée travailler à Genève, comme employée de maison d’une famille aisée. C’est en 1945 qu’elle épouse André Pittet, aujourd’hui décédé. Ils se sont occupés de leur ferme jusqu’à la retraite, puis ont profité de voyager. CG/DR