Virginie Parison: «Un film des années 1930»
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Dans le cadre du centième anniversaire de la Motta à Fribourg, un baigneur nous raconte, chaque semaine, son attachement à cette piscine.
Virginie Parison n’a pas grandi avec la Motta. Elle n’a donc pas de souvenirs émus à l’évocation de ces bains. Mais cela ne l’empêche pas de ressentir une profonde inclination. Ce coup de foudre tardif, cette Française d’origine l’a eu il y a environ cinq ans lorsqu’elle s’est installée dans le canton de Fribourg. Infirmière spécialisée en paraplégie, elle partage son temps entre deux domiciles, à Marly et Mulhouse, en France. «J’ai découvert cette piscine dans le cadre de mon travail, et j’ai été subjuguée. C’est tellement beau et cela en toute saison», explique-t-elle en évoquant le côté délicieusement d&eacut