Un oui résolu à Bluefactory
Temps de lecture estimé : 1 minute
Que feriez-vous? Vous possédez un bien immobilier. Plein centre-ville. Un élément constitutif du patrimoine «familial». Vous rénovez et investissez 20 millions. Très vite, le site affiche complet. Vous devez refuser moult demandes. Vous envisagez d’agrandir. Le plan d’affectation l’autorise désormais. Va falloir bourse délier, investir. Votre fortune considérable l’autorise. D’autant qu’il s’agit d’un transfert d’argent, d’un compte sur un autre. En tout 25 millions.
Le passé, d’aucuns diront l’expérience, vous a appris à vous entourer d’entrepreneures et d’entrepreneurs. Toutes et tous portent les projets du futur, certaines personnes affichant une belle notoriété, reconnue parfois au-delà des frontières.
Vous êtes résolument branché technologies innovatrices et développement durable. La planète bleue n’en a-t-elle pas le plus grand besoin? Vous avez pour ambition de créer des emplois à forte valeur ajoutée, destinés avant tout, quelle aubaine, à une jeunesse parfaitement formée, dont celle fréquentant les hautes écoles, l’Université, l’EPFL ou encore l’IAG (Grangeneuve).
Vous restez en phase avec votre ADN: génétiquement, la santé humaine, les énergies propres, la construction, le bois et les nouveaux matériaux, l’agroalimentaire, pour ne citer que ces quelques exemples.
Votre situation, vous l’aurez deviné, est en tout point comparable à celle du canton de Fribourg, heureux copropriétaire de Bluefactory. Alors, que feriez-vous? Vous investiriez, comme lui, vous augmenteriez votre capital-actions, comme il souhaite le faire. Moi en tout cas, je suis convaincu et je dis un oui résolu à Bluefactory.
Michel Chevalley, membre
du comité Oui à Bluefactory,
ancien député PAI-UDC