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Le cœur du football balance

Sans le statut semi-professionnel, les joueurs de première ligue ne peuvent pas reprendre leur saison

La semaine dernière, Bulle avait pu s’entraîner normalement avant que Swiss Olympic n’en décide autrement. © Alain Wicht
La semaine dernière, Bulle avait pu s’entraîner normalement avant que Swiss Olympic n’en décide autrement. © Alain Wicht

Patrick Biolley

Publié le 12.03.2021

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Football » Dix jours après le rétropédalage de Swiss Olympic, qui avait d’abord autorisé les clubs de première ligue dite classique à reprendre les entraînements normaux avant de les interdire, le flou demeure en quatrième division helvétique. Le nerf de la guerre ou plutôt le nœud du problème: le semi-professionnalisme. Un concept complexe et relativement flou dont Swiss Olympic n’a retenu que les aspects financiers pour le définir. Dans ce cas, la faîtière nationale s’est basée sur les contrats dits «non amateurs», des ententes permettant aux clubs de troisième et quatrième divisions de réguler les rapports avec leurs joueurs.

C’est là que le bât blesse, car selon nos informations seulement 105 desdits

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