C’est petit, ça colle et ça s’arrache
Patrick Biolley
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Autocollants. » Chronique
Sortir la crousille, compter les quelques centimes mis de côté et aller au tabac pour chercher son paquet d’autocollants Panini. Mon premier album terminé avait été celui de 1994. J’avais eu entre les mains celui de l’Euro suédois de 1992 et du Mondial italien de 1990, mais je ne connaissais pas encore les joies du troc et les fameux «une brillante vaut deux (ou trois, cela dépendait du margoulin en face) joueurs». Bref revenons à 1994, la tirelire, les petites pièces, un paquet à 50 centimes (!) avec sept autocollants (!!) dedans. Oui! Ne vous étonnez pas chers jeunes lecteurs, il fut une époque où collectionner les footballeurs imprimés ne vous coûtait pas un rein sur le marché aux bestiaux de Wuhan. Arrêtons de digresser. Le retour à la maison, gentiment ouvrir le paquet pour ne pas déchi