Vigdon Memishi: «Je prends ce qu’il y a à prendre»
Arrivé à la mi-janvier à Fribourg, Vigdon Memishi se montre patient. A 21 ans, il a tout l’avenir devant lui
François Rossier
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SB League » Fribourg-Botevgrad et retour. Plus de 3600 km de voyage pour 51 petites secondes de jeu en toute fin de match, sans même toucher le ballon… La vie d’un jeune basketteur est ingrate. Mais Vigdon Memishi, arrivé à la mi-janvier à Fribourg, savait à quoi s’attendre en se rendant cette semaine en Bulgarie avec Olympic pour le 8e de finale de la Coupe d’Europe FIBA, perdu mardi contre Balkan. «Je prends ce qu’il y a à prendre. Sur le banc, je suis toujours prêt à jouer. En attendant, j’essaie d’emmagasiner un maximum d’expérience», explique le pivot de 21 ans.
Plutôt que de se morfondre sur son sort, Memishi préfère voir le verre à moitié plein. «Je suis quelqu’un de positif. Au début de l’année, je ne jouais pas à Neuchâtel, et cette semaine, j’ai eu droi