«Retrouver la légèreté du basket»
Formée à Elfic, qu’elle vient de quitter, Camille Delaquis revient ce soir à Saint-Léonard. Avec Troistorrents
Pierre Salinas
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Basketball » Une joueuse qui revient là où elle a été formée, mais sous le maillot d’une autre équipe. Peut-être avez-vous lu cette histoire mille fois. Mais pas avec Camille Delaquis en héroïne d’un soir.
Ce soir donc (20 h 30), Camille Delaquis retrouve la salle Saint-Léonard, où elle a usé ses baskets pendant huit ans, et Elfic Fribourg, qu’elle a quitté à la fin janvier, la gorge nouée mais le regard résolument tourné vers un petit village du Chablais valaisan, Troistorrents, dont elle défend désormais les couleurs. «Il y aura de toute façon un petit pincement au cœur. Cela me fera aussi bizarre d’être de l’autre côté du terrain et dans un autre vestiaire. Mais je suis partie d’Elfic, que j’ai toujours considéré comme ma famille, en bons term