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L’ingénierie en quête de femmes

La HEIA-FR a fait la promotion de ses filières scientifiques auprès des futurs étudiants samedi.

Les femmes restent minoritaires dans tous les métiers de la science selon Fabienne Favre Boivin, ingénieure en génie rural et environnement. ©Alain Wicht
Les femmes restent minoritaires dans tous les métiers de la science selon Fabienne Favre Boivin, ingénieure en génie rural et environnement. ©Alain Wicht

Patrick Chuard

Publié le 19.03.2023

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Etudes» «Où sont les femmes?» La chanson de Patrick Juvet aurait pu servir de bande-son, samedi, à la journée des portes ouvertes de la Haute Ecole d’ingénierie et d’architecture de Fribourg (HEIA-FR), à Fribourg. Du moins, dans certains secteurs de l’établissement. C’est notamment le cas dans la filière génie civil, comme le confirme Fabienne Favre Boivin, qui y enseigne depuis quinze ans: «Le nombre d’étudiantes varie peu, cela va de deux à six sur une classe de trente. Les femmes restent minoritaires dans tous les métiers de la science», observe l’ingénieure en génie rural et environnement. Comme environ 750 professeurs, chercheurs ou collaborateurs, elle était présente samedi pour donner envie aux écoliers, surtout aux écolières, de faire leurs futures études à la HEIA-FR.

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