Henri Baeriswyl fait découvrir la douce musique des églantiers
Henri Baeriswyl a consacré un ouvrage aux rosiers sauvages. Rencontre avec un botaniste mélomane
Stéphanie Schroeter
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Botanique » Leurs noms sont parfois imprononçables mais néanmoins poétiques. Rosa canina, Rosa dumalis, Rosa villosa ou glauca. Des plantes dont les fruits ont été affublés du surnom populaire de gratte-cul, appelés également cynorhodons. Toutes font partie de la famille des églantiers ou rosiers sauvages. Un vaste monde, truffé de mystères et riche en découvertes, qui n’a (presque) plus de secrets pour Henri Baeriswyl.
Ancien enseignant au Conservatoire de Fribourg, le septuagénaire vient de leur consacrer, en collaboration avec Jean-Claude Clerc, un ouvrage rédigé en deux langues. Disponible dès le début du mois de novembre auprès du Jardin botanique de Fribourg, cet inventaire, soutenu par diverses instances dont le Service des forêts et de la nature de l’Etat de Fribourg ou l’Office fédéral de l&r