Mossel » «Je les ai reçus par la Poste. D’abord la petite maison, le 25 mars, ensuite les tubes contenant 25 cocons d’abeilles sauvages. Il suffit d’insérer ces tubes dans la maisonnette, d’enlever les bouchons, et d’attendre que les abeilles sortent. Simple!» Nicole Amadori fait ainsi partie des 10’000 «amis des abeilles sauvages» que la société zurichoise Wildbiene + Partner compte en Suisse romande, en sus des 55’000 adeptes alémaniques. Une corde de plus à l’arc de cette Glânoise d’adoption et de son mari Fabrice, qui ont peu à peu transformé leur ferme, à Mossel, en havre de biodiversité.

L’aventure apicole n’est pas si chère: autour des 100 francs. «Et ce n’est pas astreignant: il n’y a qu’à choisir un emplacement pour la maison ruche, côté soleil