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La dure quête d’emploi des Ukrainiens réfugiés dans le canton

Venus d’Ukraine, ils cherchent un travail dans le canton. La langue, mais pas seulement, pose problème

Olesya Perepechay pose devant l’objectif du photographe Rromir Imami, sous le regard de sa compatriote Irina Fabryka (à g.) et de Maryna Veuthey, une Bélarusse qui mène des actions de soutien pour les Ukrainiens et qui joue les traductrices durant la séance. © Alain Wicht
Olesya Perepechay pose devant l’objectif du photographe Rromir Imami, sous le regard de sa compatriote Irina Fabryka (à g.) et de Maryna Veuthey, une Bélarusse qui mène des actions de soutien pour les Ukrainiens et qui joue les traductrices durant la séance. © Alain Wicht

Lise-Marie Piller

Publié le 11.07.2022

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Guerre » Un ventilateur tourne à plein régime, tentant de rafraîchir l’atmosphère tropicale de ce début d’été. Soudain, un flash crépite. Le photographe professionnel Rromir Imami s’exclame en anglais: «Beautiful! Give me a smile again (Magnifique! Souriez encore, en français).» Car dans l’espace de coworking Colab, à Fribourg, se tient une séance photo particulière. Rromir Imami immortalise bénévolement des réfugiés venus d’Ukraine, pour ce qui sera la photo de leur CV.

Il s’agit de la deuxième séance en date. La première a eu lieu en juin, et les douze places ont été prises d’assaut – en majorité par des Ukrainiennes. Quelque 16 personnes sont inscrites sur la liste d’attente pour celle-ci.

L’idée est venue de discussions avec

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