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Il raccroche le morion et le sabre

Le Gruérien Philippe Morard vient de quitter sa fonction de vice-commandant de la Garde suisse. Bilan

La famille – de g. à dr. Axel, Eden, Noa, Janik et Philippe Morard – a pu échanger avec le pape François avant de quitter le Vatican. © Vatican Media
La famille – de g. à dr. Axel, Eden, Noa, Janik et Philippe Morard – a pu échanger avec le pape François avant de quitter le Vatican. © Vatican Media

Stéphane Sanchez

Publié le 10.01.2022

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Vatican » Casque, panache, collerette, uniforme cramoisi et sabre: Philippe Morard portait pour la dernière fois sa prestigieuse tenue de vice-commandant de la Garde suisse, le 19 décembre dernier, après un peu plus de six ans de service. Adieu à la troupe, qui lui a offert un sabre d’apparat. Adieu à la mission, qui lui a valu la médaille du commendatore de l’ordre de Saint-Sylvestre. Adieu au Vatican, à Rome et à la vie d’expatrié. Le natif de Gumefens et les siens sont de retour en terres fribourgeoises. Déjà hallebardier de 1993 à 1995 sous le pontificat de Jean-Paul II, Philippe Morard revient sur ces dernières années consacrées notamment à la garde rapprochée du pape François.

Vous pouviez continuer. Qu’est-ce qui vous a retenu?

Philippe Morard: En automne 2015, ma famille m&r

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