De l’autre côté du miroir
A Rue, le surréalisme de José Roosevelt côtoie les sculptures de Jacques Basler
Maxime Papaux
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Glâne » C’est en la galerie de Rue que José Roosevelt accroche une ultime fois ses huiles. Ayant rangé ses pinceaux en 2015 pour se consacrer exclusivement au 9e art, il présente ses dernières toiles ainsi que plusieurs œuvres encore jamais exposées. Les sculptures de Jacques Basler jalonnent quant à elles les peintures et dessins de son invité, sur les trois étages de la maison-galerie. Habitées de volatiles, les récentes œuvres de bois et d’acier du maître des lieux insufflent dans la matière la légèreté de l’éther. Aussi, l’exposition offre-t-elle de (re)découvrir Il riposo di Eolo (le repos d’Eole), le premier bronze réalisé par le sculpteur dans la fonderie italienne avec laquelle il collabore depuis 1988.
Né à Rio de Janeiro en 1958, José Roosevelt a dével