La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Le code de la route

Archétype du road movie, Easy Rider est une ode à la liberté qui capte l’état d’esprit de la jeunesse des années 1960. Un film révolutionnaire

Dennis Hopper (à g.) et Peter Fonda chevauchent leurs Harley au son de Born To Be Wild: iconique. © Columbia
Dennis Hopper (à g.) et Peter Fonda chevauchent leurs Harley au son de Born To Be Wild: iconique. © Columbia

Olivier Wyser

Publié le 16.07.2021

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Road movie (1/6) » Pas besoin d’un passeport sanitaire pour tailler la route sur pellicule. Tout l’été, La Liberté s’évade, direction les grands espaces mythiques du cinéma.

Même pour ceux qui n’auraient jamais eu la chance de voir ce film, le simple nom d’Easy Rider fait naître des images. Des Harley Davidson fonçant sous le soleil écrasant au son du Born To Be Wild de Steppenwolf, bien sûr, mais aussi les grands espaces américains et le sentiment de liberté si souvent associé à ces paysages sauvages. Pourtant, rien ne prédisposait ce film à petit budget signé Dennis Hopper et produit par Peter Fonda, sorti en 1969, à devenir un tel marqueur culturel de la fin des sixties. Retour sur une œuvre matricielle qui, si elle n’est pas le premier road movie, en est devenu l’archétype.

.embed-c

Articles les plus lus
Dans la même rubrique
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11