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FIFF: une page blanche à écrire pour le cinéma moldave

Ion Gnatiuc évoque les enjeux de l’industrie naissante du cinéma moldave

Le producteur Ion Gnatiuc croque à pleines dents dans le fruit sucré du FIFF qui lui a demandé de composer le premier panorama consacré à la cinématographie de Moldavie dans un festival international. © Alain Wicht
Le producteur Ion Gnatiuc croque à pleines dents dans le fruit sucré du FIFF qui lui a demandé de composer le premier panorama consacré à la cinématographie de Moldavie dans un festival international. © Alain Wicht

Olivier Wyser

Publié le 20.03.2023

Temps de lecture estimé : 8 minutes

Festival du film » Petit pays de 2,5 millions d’âmes coincé entre l’Ukraine et la Roumanie, la République de Moldavie vole bien en dessous des radars de l’industrie cinématographique européenne. A l’époque soviétique, cette région sauvage était pourtant prospère grâce notamment aux studios Moldova-Film et aux centres culturels organisant des projections jusque dans les petits villages éloignés de la capitale Chisinau. Même si la liberté d’expression était muselée par Moscou, le cinéma moldave avait le mérite d’exister. Mais avec l’indépendance, en 1991, tout s’est arrêté. Aujourd’hui, la Moldavie se reconstruit une identité à travers des films de fiction et des documentaires, mais le chemin est sinueux et semé d’embûches pour les réalis

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