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A un cheveu de l’âme sœur

Sur Netflix, The One explore la parfaite correspondance amoureuse entre deux êtres. Ou quand un bonheur génétique vire au cauchemar

Rebecca Webb ne maîtrise que les apparences, et cela ne suffira pas. © Netflix
Rebecca Webb ne maîtrise que les apparences, et cela ne suffira pas. © Netflix

Aurélie Lebreau

Publié le 26.03.2021

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Série » Que ferions-nous, tous autant que nous sommes, si nous avions la possibilité de rencontrer l’âme sœur, la vraie, celle que nous aurions l’impression d’avoir toujours connue et avec laquelle nous partagerions une alchimie physique parfaite? Disponible depuis quelques jours sur Netflix, The One imagine un monde où la génétique (un cheveu analysé suffit), puisant dans une base de données mondiale, forme des couples parfaits. Fini les rencards douteux, les complicités chancelantes, les ébats décevants. Grâce à la biologiste Rebecca Webb (Hannah Ware) et au généticien James Whiting (Dimitri Leonidas), l’amour devient tout simplement évident…

Rappelant l’excellente série dystopique Black Mirror – où les avancées technologiques développées par l’homme finissent par se

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