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Du côté de la «Rue de Sèvres»

L'éditeur Rue de Sèvres s'est imposé comme un acteur essentiel du macrocosme francophone du 9e art. La preuve en quelques parutions

Un extrait d’Aquarica, de Benoît Sokal et François Schuitten. © Rue de Sèvres
Un extrait d’Aquarica, de Benoît Sokal et François Schuitten. © Rue de Sèvres

Samuel Jordan

Publié le 28.05.2022

Temps de lecture estimé : 3 minutes

BD » Des livres à lire et à relire longtemps. C’est l’ambition affichée et comblée de Rue de Sèvres, jeune maison de bande dessinée. Sortie de la cuisse du groupe l’Ecole des loisirs en 2013, celle-ci s’est prestement et agilement imposée comme un acteur essentiel du macrocosme éditorial francophone du 9e art. Regroupant une efficace écurie d’auteurs confirmés – Zep, Jacques Ferrandez, Walter Hill ou encore Juan Canales – et de pousses prometteuses, Rue de Sèvres bourgeonne de santé en ce printemps 2022. Florilège de quatre albums qui rallongent les jours.

Le nautique Quand deux géants de la BD unissent leurs talents, le plaisir guette. Benoît Sokal, père de Canardo, et François Schuitten, co-cerveau des Cités obscures, ont imaginé Aquarica, doux amalgame de fable écologique et d’aventure à la Moby Dick. Après un tome abyssal sorti en 2017, les amis d’études signent cinq ans plus tard l’acte final de leurs déambulations graphiques et narratives. Le savant Greyford et le Lie

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