Pourquoi toutes ces fatalités?
Angélique Eggenschwiler
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Le mot de la fin
Un vrai carnage. Comme à chaque fois que je fais des travaux. Toujours la même histoire, qu’il s’agisse de construire une clôture ou de changer le robinet, j’y laisse au minimum un doigt (en me coupant avec le pinceau), un week-end et un salaire en dispersion pour repeindre la façade. J’ai beau errer dans les allées de Jumbo en tentant d’anticiper tous les imprévus, il y a toujours un truc qui foire, toujours un truc qui manque: une boîte de vis par exemple, une tractopelle, un CFC d’électricienne… Alors comme tous les bricoleurs du dimanche, je me pose la question: pourquoi c’est toujours le mur porteur que vous avez besoin d’abattre?
Oui, pourquoi. Pourquoi y a-t-il toujours un nœud à l’endroit exact où vous devez visser? Et un circuit électrique à l’endroit précis où vous l’avez