La 2G plutôt que fermer
Bien que facultatif, le système 2G, garantissant l'accès aux personnes vaccinées ou guéries uniquement, s'impose comme la norme dans les boîtes de nuit du canton. Leurs gérants expliquent n'avoir pas le choix pour rester ouvert.
CG
«Pour le Crapule Club et Lapart, on applique la solution 2G, car on n'a pas le choix», explique le patron Stéphane Jaton. «On perdrait sinon l'essence même de notre raison d'être, car les gens viennent chez nous pour danser», poursuit celui qui évalue sinon un manque à gagner en chiffre d'affaires qui pourrait atteindre 80%, avec la solution des masques. «Nous ne couvririons même pas nos frais fixes.»
Constat similaire au sein de Globull. «Le port du masque et la consommation assise sont incompatibles avec l'idée de boîte de nuit», remarque Gilles Ancion codirecteur du club bullois. Pour lui aussi la décision a été vite prise: «On ne nous propose aucune indemnisation en cas de fermeture. Or, notre but est de travailler, pas d'être fermés.»
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