Merci Jordan, merci Challandes, merci Iniesta
Pierre Salinas
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Chronique
A la télé. Jeudi, la RTS, mais elle n’était pas la seule, a diffusé le meeting d’Oslo, rebaptisé Impossible Games. Essayé, pas pu. Non, aussi prestigieuse soit-elle, une réunion d’athlétisme à huis clos ou presque, jalonnée de distances bâtardes – d’autres préféreront le qualificatif «hybrides», mais ces autres ne sont pas remontés comme je le suis – et animée par des perchistes ou des semi-fondeurs disséminés ici dans le jardin venteux de Renaud Lavillenie, là sur un tartan inondé de Nairobi, ne remplacera jamais le Bislett d’antan.
C’était mieux avant? Bien sûr que c’était mieux avant le Covid, et la mission de ces quelques lignes n’est pas de convaincre qui que ce soit! Mais d’apporter un avis, comme un constat d’échec, presque un conseil: qui veut vibrer en regardant du sport à la télé n’a d’autre choix que de se rabattre sur des documentaires.
Tranches de vieSe sont-ils passé le mot? Toujours est-il que les tranches de vie que la crise sanitaire a posées su