La Liberté

pictogramme abonné La Liberté Contenu réservé aux abonnés

Pop et féminisme font bon ménage à en croire la journaliste Morgane Giuliani

Objet de débats entre intellectuelles et militantes féministes, Madonna ou Beyoncé incarnent à leur manière les problématiques raciales, de genre et de classe. Un livre analyse le phénomène.

Madonna: un cas d’école du tabou qui entoure le vieillissement des femmes. «Comment continuer à incarner Like a Virgin à plus de 60 ans?» s’interroge Morgane Giuliani © Keystone-archives
Madonna: un cas d’école du tabou qui entoure le vieillissement des femmes. «Comment continuer à incarner Like a Virgin à plus de 60 ans?» s’interroge Morgane Giuliani © Keystone-archives

Roderic Mounir

Publié le 16.11.2023

Temps de lecture estimé : 10 minutes

Publication » De l’irruption de Madonna «la provocante» sur la scène pop au début des années 1980, à l’avènement des icônes planétaires du XXIe siècle Beyoncé et Taylor Swift, le chemin parcouru est important. Ces trajectoires, jalonnées de scandales et d’acquis arrachés à une industrie patriarcale et majoritairement blanche, ont contribué à forger le «féminisme pop».

Un phénomène qu’analyse Morgane Giuliani, autrice et journaliste spécialiste de pop culture, ex-cheffe de rubrique pour Marie-Claire. Dans Féminismes et musiques, la pop de Madonna à nos jours, elle retrace l’évolution des superstars planétaires, pointant leurs contradictions. Les Spice Girls et leur «Girl Power» ont-elles été un pur produit marketing ou une p

Articles les plus lus
La Liberté - Bd de Pérolles 42 / 1700 Fribourg
Tél: +41 26 426 44 11